Assise, vaille que vaille,
La veille de ses fiançailles,
La princesse du sérail
S’aère de son éventail
Un grincement du portail,
Son prince revient du travail,
Sur le sofa pose son chandail
Et prend son air canaille.
Tu es ma plus belle trouvaille
À mon retour au bercail,
J’aime être ton samouraï.
Viens ma chérie que l’on s’égaille.
© Pierre Delphin – 9 octobre 2017