dimanche 2 décembre 2012
La porte s’ouvre
La nuit tombe
Jette son ombre
Sur tes effrois.
Un homme sonne
Le bruit t’étonne
Un grand émoi.
La porte s’ouvre
Des mains te trouvent
Deux cœurs en joie.
Tes bras se tendent
À son col pendent
C’est lui et toi.
Une douce caresse
Prélude d’ivresse
Il reste coi.
Milles folies
Au creux du lit
Au bonheur je crois.
© Pierre Delphin – Août 2012