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Quand le vent du soir
T’emporte dans son onde
Ce ne sont que doux espoirs
Qui dans mon cœur font la ronde.
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Chante, danse belle muse
Dans le reflet d’un soleil nacré
Soit gaie, qu’un rêve t’amuse
Pour fleurir l’autel de tes rêves sacrés.
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Sur l’allée bruissante de la vie.
D’un pas léger tu vins à ma rencontre
Mon allégresse pris la place de l’ennui
Où le temps qui passe, n’use nulle montre.
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Viens encore mettre mon cœur en émoi
À courir les chemins, moi le fou chantant
Que serai-je sans toi ?
Qu’un cœur au bois dormant.
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© Pierre Delphin – mars 2011